Translate

jeudi 17 octobre 2019

La CONTAMINATION à Fukushima : des RIVIÈRES à la MER

En situation d’urgence nucléaire ou radiologique, comme en phase post-accidentelle, l’IRSN doit être en mesure de prédire le devenir des radionucléides dans l’environnement et d’évaluer leur impact sur l’homme et l’environnement afin d’aider les pouvoirs publics à prendre les décisions appropriées. 

L’accident de la centrale nucléaire de Fukushima Dai-ichi a mis en lumière la nécessité de mieux comprendre, quantifier et prédire la distribution, dans l’espace et dans le temps, des radionucléides rejetés dans l’environnement, notamment au sein des forêts et sur les bassins versants et dans l’environnement marin.

 Carte de la zone contaminée et points de prélèvement de l'IRSN sur les 5 rivières

Ces nouvelles données ont en outre confirmé une relation entre concentration en césium et concentration en matière organique. Dans des conditions de faibles débits, la fraction portée par les particules organiques est plus importante que celle existant sur les particules minérales, ce qui est contraire aux observations faites à Tchernobyl.

Pour lire l'article entier, cliquer ici



mercredi 2 octobre 2019

Le problème de l'eau contaminé ne progresse pas

Pas d’avancée concernant l’eau contaminée contenue dans les cuves

et le site se remplit de cuves
 
La Corée du Sud, en conflit avec le Japon sur de nombreux dossiers, ne veut pas que l’eau contenue dans les cuves à Fukushima soit déversée dans la mer. Le 5 septembre dernier, elle a porté le dossier devant l’Agence Internationale de l’Energie Atomique (AIEA), basée à Vienne en Autriche. Les deux pays s’opposent aussi sur les restrictions à l’importation en Corée de produits agroalimentaires japonais.
Pour la Corée, en cas de rejet dans l’océan, ce ne sera plus un problème domestique, mais un problème global. Elle a exhorté le Japon à trouver d’autres solutions. Le Japon a répondu que la décision de rejeter l’eau contaminée dans l’océan n’a pas été prise (ce qui est hypocrite, car c’est la solution qui a les faveurs des autorités et de TEPCo) et qu’il était transparent.

Lire l'article complet sur le site de l'ACRO