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mercredi 24 avril 2024

Rejets en mer arrêtés

 L’opérateur de la centrale nucléaire accidentée de Fukushima Daiichi (nord-est du Japon) a annoncé ce mercredi 24 avril que le rejet en mer de l’eau traitée de la centrale a été interrompu.

Cette photo aérienne prise le 24 août 2023 montre des réservoirs de stockage (en bas) utilisés pour stocker l'eau traitée à la centrale nucléaire accidentée de Fukushima Daiichi de TEPCO à Okuma, dans la préfecture de Fukushima, au Japon. | JIJI PRESS / AFP


Une coupure de courant partielle s’est produite sur le site, affirme Tepco dans un communiqué, assurant qu' « aucun changement significatif » n’a été constaté sur les systèmes de contrôle de la radioactivité sur le site après cette panne, et que le système de refroidissement des réacteurs « continue de fonctionner ».

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mercredi 6 mars 2024

TEPCo reporte encore la reprise du corium à Fukushima daï-ichi

 

TEPCo reporte encore la reprise du corium à Fukushima daï-ichi


Les premiers essais consistant à récupérer quelques grammes de corium – ce mélange très irradiant de combustible nucléaire fondu et de débris – étaient initialement prévus pour 2021, juste avant le dixième anniversaire dans le réacteur n°2. La covid avait été invoquée lors du premier report. Cette fois-ci, l’essai devait se faire avant la fin de l’année fiscale qui se termine le 31 mars prochain. Ce ne sera pas avant l’automne 2024. Le bras du robot prévu ne serait pas assez précis. Un autre robot va donc être testé.

La reprise du corium est le plus grand défi auquel fait face le Japon car la technologie reste à développer. Sur la figure ci-dessous, reprise du site internet du ministère de l’économie (METI) du Japon, on voit une photo du bras articulé du robot en cours de test à Naraha et un schéma avec son installation prévue sur le réacteur n°2 (cliquer pour élargir).

Lire l'article complet.

jeudi 18 janvier 2024

Le nucléaire au Japon

 Le 11 janvier 2024, 

La centrale nucléaire de Shika secouée au-delà des estimations du référentiel de sûreté

Selon l’Autorité de régulation nucléaire (NRA), le fort séisme le 1er janvier dernier sur la péninsule de Noto a infligé à certaines parties de la centrale nucléaire de Shika des contraintes qui ont dépassé la limite prévue dans la conception de l’installation. Mais le refroidissement des combustibles nucléaires usés est assuré et il n’y a pas de problème de sûreté pour les deux réacteurs à l’arrêt depuis 2011.

Le séisme a atteint une intensité maximale de 7 sur l’échelle d’intensité sismique du Japon à Shika. Les différentes parties d’une centrale nucléaire réagissent différemment à l’activité sismique. Chaque installation et équipement a une période particulière où il est le plus vulnérable aux secousses. Durant ces périodes spécifiques, l’exploitant estime l’accélération de l’intensité maximale acceptable. Lors du séisme du 1er janvier, l’accélération lors des secousses a légèrement dépassé les niveaux acceptables pour certaines périodes. Mais les installations importantes pour la sûreté telles que les bâtiments réacteurs et les cuves sous pression ne se trouvaient pas dans des périodes sensibles.


Centrale de Shika sur la presqu'île de Noto

Lire la suite de l'article de l'ACRO