Les microparticules vitreuses, riche en césium, sont plus abondantes que prévu.
Research team members monitoring radioactive particles in the exclusion zone
Les rejets radioactifs lors de l’accident grave à la centrale de Fukushima daï-ichi n’ont pas été seulement sous forme gazeuse. Une partie de la contamination de l’environnement est due à des microparticules vitreuses, particulièrement riches en césium et autres éléments radioactifs. Sous cette forme, l’impact sanitaire et sur la contamination à long terme pourrait être beaucoup plus grave. Mais, comme on ne sait pas grand chose à leur propos, les recherches sur le sujet se poursuivent.
Ces microparticules ont été découvertes dans les filtres à air, dans les sols et sur des plantes. Deux articles scientifiques viennent de paraître à ce sujet et apportent de nouvelles informations.
La suite de l'article est à lire sur le site de l'ACRO dans les
pages Fukushima