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dimanche 3 juin 2018

La contamination de la région de Fukushima fait encore parler d'elle

Les microparticules vitreuses, riche en césium, sont plus abondantes que prévu.

Research team members monitoring radioactive particles in the exclusion zone

Les rejets radioactifs lors de l’accident grave à la centrale de Fukushima daï-ichi n’ont pas été seulement sous forme gazeuse. Une partie de la contamination de l’environnement est due à des microparticules vitreuses, particulièrement riches en césium et autres éléments radioactifs. Sous cette forme, l’impact sanitaire et sur la contamination à long terme pourrait être beaucoup plus grave. Mais, comme on ne sait pas grand chose à leur propos, les recherches sur le sujet se poursuivent.
Ces microparticules ont été découvertes dans les filtres à air, dans les sols et sur des plantes. Deux articles scientifiques viennent de paraître à ce sujet et apportent de nouvelles informations.
Plusieurs études sont en cours : quelques extraits de la première ici
La suite de l'article est à lire sur le site de l'ACRO dans les pages Fukushima 

 

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