L’explosion de la centrale nucléaire de Fukushima 1 le 11 mars 2011 a provoqué une grave contamination radioactive contraignant des dizaines de milliers de personnes à la fuite de leur domicile.
Source : ministère de l’Éducation et de la recherche japonais, septembre 2011.
Parce qu’il prouve l’impossibilité de la gestion d’un accident
nucléaire, le refuge n’est souhaité ni par les autorités nationales
ayant opté pour une poursuite du nucléaire, ni par les autorités
internationales. Si dans un premier temps, les autorités ont simulé
l’aide au refuge, cette aide a été interrompue en avril 2017
simultanément à la réouverture à l’habitat d’une partie de l’ancienne
zone d’évacuation afin de contraindre les migrants au retour à la vie
dans les territoires contaminés.
Un très long article, bien documenté, fait le point sur cette catastrophe, à la lumière de l'impact sur les habitants. Il a été écrit par Cécile Asanuma-Brice, chercheuse en sociologie urbaine, Maison
franco-japonaise Tokyo UMIFRE 19-CNRS / Laboratoire CLERSE, Université
Lille 1.
Vous pouvez le lire en entier, en cliquant ici.
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