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mardi 7 janvier 2014

La censure nucléaire se fait de plus en plus pesante

Merci à l'ACRO qui fait une veille technologique très poussée et d'où est tiré cet extrait.
Selon le Tôkyô Shimbun du 31 décembre dernier, l'AIEA et l'université médicale de Fukushima, en charge de l'étude d'impact sanitaire dans la province de Fukushima, ont signé un protocole d'accord incluant des clauses de secret : selon le journal, il y est mentionné la possibilité que des informations ne soient pas publiées si elles peuvent attiser l'anxiété de la population.
 Le texte signé est sur le site du ministère des affaires étrangères japonais (en anglais). L'article 8 mentionne que les signataires publieront leurs résultats tout en respectant la confidentialité imposée par l'autre partie. C'est article est assez commun, mais suffisamment vague pour permettre des dérives. Dans le contexte actuel de défiance vis à vis des autorités sur un sujet aussi sensible et après le vote de la loi sur le secret (voir article sur le blog), il aurait été bienvenu de mieux préciser les choses. Il aurait été préférable de dire que toutes les données seront rendues publiques tout en garantissant la vie privée des personnes concernées.
Parmi les sujets abordés par cet accord, il y a "la peur des radiations"...

D'autre part

Un long article de William Boardman de Global Research est au coeur du sujet, je n'aurai pas pu mieux écrire.
L'article a été traduit par etincelledevie et se trouve ici (à lire absolument), je l'ai aussi mis en ligne sur FaceBook.



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